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Global Media Registry (GMR) & Association Al Khatt - all rights reserved, published under Creative Commons Attribution-NoDerivatives 4.0 International License.
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Global Media Registry

1. Qu'est-ce le MOM?

Le “Media Ownership Monitor” (MOM) a été développé comme une cartographie afin de créer une base de données des propriétaires de tous les médias pertinents (presse écrite, radio, télévision et presse en ligne). La base de données des propriétaires est accessible publiquement et est mise à jour régulièrement.

Le but du MOM est d'évaluer les risques qu’encoure le pluralisme des médias à cause de la concentration de la propriété (pour plus d’informations, voir la méthodologie). Afin de mieux comprendre les caractéristiques nationales et de détecter les facteurs qui réduisent ou augmentent les risques de la concentration, le MOM fournit également une contextualisation et une analyse qualitative, en évaluant les spécificités de marché et le cadre légal.

2. Qui est derrière le MOM?

Depuis 2015, MOM est incubé par Reporter ohne Grenzen e. V. – la section allemande de l'organisation internationale de défense des droits humains Reporters sans frontières (RSF), qui vise à défendre la liberté de la presse et le droit d'informer et d'être informé partout dans le monde.

En 2019, le projet a été repris par le Registre Global des Médias (Global Media Registry, GMR), une entreprise sociale indépendante à but non lucratif enregistrée en vertu du droit allemand.

Dans chaque pays, MOM est mis en œuvre en coopération avec une organisation partenaire locale. En Tunisie, RSF a travaillé avec Al Khatt. Le projet a été financé par le ministère fédéral allemand du développement économique et de la coopération (BMZ).

3. Where can I download this report?

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4. Pourquoi la transparence de la propriété des médias est-elle importante?

Le pluralisme des médias est un pilier clé des sociétés démocratiques. L'existence de médias divers, indépendants et libres reflète des opinions et des avis divergents et permet la critique des gens au pouvoir. La concentration du marché médiatique est un risque pour la diversité des opinions, car seuls quelques individus dominent l'opinion publique empêchant d’autres acteurs et opinions de s'exprimer (concentration de la propriété des médias). Le défi le plus important est de pallier au manque de transparence sur la propriété des médias. Comment les gens peuvent-ils évaluer la fiabilité de l’information s’ils ignorent qui la diffuse? Comment les journalistes peuvent-ils correctement travailler s’ils ignorent qui contrôle l’entreprise pour laquelle ils travaillent? Et comment les autorités des médias peuvent-elles réguler la concentration excessive des médias, s’ils ignorent qui les gère ?

Par conséquent, MOM a pour but de renforcer la transparence et de répondre à la question « qui contrôle le contenu des médias? » Le MOM vise à susciter une prise de conscience collective quant aux risques que présentent une concentration de la propriété des médias, et à appuyer la demande de transparence émise à l'encontre des acteurs politiques et économiques.

Comme nous considérons que la transparence sur les propriétaires est une condition primordiale pour imposer un pluralisme des médias, nous documentons l’ouverture des sociétés de médias/organes de presse pour renseigner sur leur structure de propriétés. En considérant leurs réponses, nous avons distingué différents niveaux de transparence - qui sont indiqués sur les profils de chaque organe de presse et société de média.

La motivation des propriétaires de médias de garder cacher mais aussi de divulguer leurs investissements peut varier de légitime à l’illégal et peut être ancré dans des raisons personnelles, légales, ou liées aux affaires - ou plusieurs d’entres elles, dans des situations extrêmes, y compris les infractions pénales comme l’évasion fiscale ou les violations de lois antitrusts.

Quelques-unes de ces raisons incluent les suivantes :

  • Dans plusieurs pays, la propriété des médias est régulée par des lois pour permettre la concentration. Donc si une personne veut étendre son empire de médias. L’utilisation de procurations de la part des propriétaires et/ou sociétés écrans enregistrées à l’étrangers, y compris offshores, est régulièrement faite.

  • Il peut arriver que les propriétaires des médias reçoivent des menaces personnelles ou doivent faire face à d’autres dangers qui peuvent venir des gouvernements ou des sociétés. Par conséquent, il leur arrive de choisir de rester anonyme pour se protéger.

  • Dans plusieurs situations, les propriétaires de médias sont liés à des intérêts politiques ou économiques, encore plus si des personnes sont impliquées dans la possession d’un bureau public et ne souhaitent pas divulguer leurs conflits d'intérêts.

  • Dans quelques cas, le camouflage des propriétaires des médias arrive non-intentionnellement car avec le temps, des fusions et des acquisitions peuvent avoir lieu. Les structures de sociétés se complexifient tellement que le propriétaire véritable devient difficile à identifier.

  • Enfin et surtout, c’est “normal” -i.e. les raisons non associées aux médias pour les propriétaires pour cacher, comme l’évasion fiscale.

5. Quel type de contrôle de la concentration est-ce que le MOM suggère?

Le MOM n'émet pas de recommandations normatives - il ne propose pas comment contrôler la propriété des médias. La forme de contrôle de la concentration des médias dépend du contexte du pays, de la législation existante, des conditions du marché et de la sphère des propriétaires.

Le MOM procure un outil de transparence pour renforcer le débat démocratique sur ces problématiques, de même que la bonne gouvernance: Les décisions sont susceptibles d'être meilleures et de mieux refléter les besoins et les attentes des citoyens s'ils ont accès aux informations adéquates et participent aux consultations avec des points de vue et des opinions librement partagées. 

6. Comment les données ont-elles été collectées et validées?

Nous avons préféré nous appuyer sur des sources officielles de données, et/ou de sources avec un niveau élevé de fiabilité et de confiance.

Lorsque ces données étaient indisponibles, nous avons contacté de manière proactive les sociétés et les acteurs publics, afin de leur donner la possibilité de fournir des données valides. Chaque source est bien documentée et archivée.

Principalement, nous avons utilisé les données suivantes:

•       Données fournies par les organismes médiatiques

•       Données disponibles sur le Registre du Commerce

•       Données disponibles sur le JORT

•       Données de l’institut national des statistiques

•       Données de l’ONT

•       Données de l’instance nationale de télécommunication

•       Données de la HAICA

•       Données fournies par la Présidence du Gouvernement

•       Données de l’enquête Media Use in the Middle East 2015  par NorthwesternUniversity in Qatar

Afin d’assurer la pertinence de l’analyse et des résultats, et pour prendre des décisions dans les cas difficiles (par exemple en ce qui concerne les chiffres d’audience), l’équipe a consulté un Conseil Consultatif. D’autres représentants et experts du domaine des médias ont partagé leur expertise pour soutenir la recherche.

Les membres du Conseil Consultatif incluent:

•       Yasmine Kacha, RSF Tunisie

•       Ons Ben Abdelkarim, Al Bawsala

•       Jazem Halioui, Web Radar

•       Hamida El Bour, TAP

•       Larbi Chouikha, Professeur

•       Inès Bel Aiba et Guillaume Klein, AFP

•       Ziad Dobban, SNJT

•       Mouheb Garoui, IWatch Organisation

En plus des représentants des médias qui ont répondu favorablement à la demande d’entretien, les personnes suivantes ont partagé leur expertise:

·       Nouri Lajmi, Hichem Snoussi & Habib Belaid, HAICA

·       Elouaer Lamjed,ONT

·       Kamal Labidi, ex-Président de l’INRIC

·       Dhafer Neji & Sonia Memmich, Présidence du Gouvernement

·       Abdelkrim Hizaoui, Professeur IPSI

·       Hichem Guerfali, C3

·       Hana Cherif, MediaScan

·       Amenallah Ayari, Ipsos

·       Taïeb Zahar, FTDJ

·       Saloua Ghazouani Oueslati, Article 19

·       Mongi Khadhraoui, Journaliste de Dar Anouar

·       Lamia El Kateb, Registre de Commerce

·       Neji Bghouri, Fahem Boukadous, SNJT

Les références sont disponibles sur demande auprès d'Al Khatt.

7. Quels sont les médias les plus importants?

La question principale est : quels médias influencent le processus de formation de l’opinion publique? Nous avons inclus tous les types de médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision et presse en ligne).

Les médias ont été choisis à partir des critères suivants:

•       Le MOM se focalise sur les médias ayant la plus grande portée, mesurée en termes de part d’audience/lectorat. 10 médias par type maximum (presse écrite, radio, télévision et presse en ligne) ont été choisis.

•       Les actualités et l’opinion. La recherche se focalise sur les médias d’actualités et de l’information générale avec une portée nationale. Les médias se focalisant sur des thématiques spécifiques (sport, musique etc.) ainsi que les réseaux sociaux, les sites de recherche, de divertissement etc. ont été exclus. 

La sélection basée sur ces critères constitute initialement à plus ou moins 10 médias par type de média (Tv, presse-écrite, presse en ligne, radio). Eclairer sur ces organes de presses les plus pertinents permet déjà de mettre en avant les tendances de concentration de médias. Plus de médias sont et seront ajoutés - s’ils sont pertinents en terme de propriétaires ou de leur influence sur l’opinion publique (lire plus - “Comment les médias ont-ils été choisis ?”)  

8. Comment les médias ont-ils été choisis?

Les 40 médias auraient dû être choisis à partir des chiffres d’audience. Obtenir des chiffres d’audience fiables pose cependant plusieurs problèmes en Tunisie (voir données sur l’audience). Néanmoins, l’équipe a été obligée de choisir 40 médias en se basant sur ces chiffres. Une source différente été utilisée pour chaque type de média, suivant les disponibilités et afin de diversifier les sources. La liste des 40 médias sera mise à jour une fois que des données réellement fiables seront disponibles.

TV

Les chiffres d’audience pour les chaînes de télévision se basent sur Ipsos ; ce sont des chiffres d’avril 2016. Ces chiffres ont été choisis en tenant compte du fait qu’Ipsos travaille à l’échelle nationale et ne semble pas avoir de conflits d’intérêts (contrairement à d’autres instituts de sondages)

Source : Ipsos (2016), TV Viewership in Tunisia 2016

RADIO

•       Le choix des stations de radio se base sur les chiffres d’audience de Sigma Conseil. Sigma Conseil a été choisi, étant le seul institut de recherche qui fait un sondage sur tout le territoire de la Tunisie (contrairement à MediaScan qui se focalise sur Tunis, Sousse et Sfax). Comme la plupart des radios sont uniquement diffusées dans certaines régions et que l’audience varie extrêmement suivant ces régions, un sondage qui couvre toute le territoire était nécessaire. La moyenne du part d’écoute de l’année dernière (avril 2015 à mars 2016) a été calculée pour déterminer les 10 stations les plus écoutées. Le mois de Ramadan (juin/juillet) est exclu en raison du manque de chiffres, et des habitudes qui changent. Diwan FM a été inclus en plus, du fait que certains de leurs actionnaires étant communs avec d’autres radios dans l’analyse.

Source: Sigma Conseil (2016/2015). Moyenne des chiffres janvier, février, mars 2016 ; avril, mai, août, septembre, octobre, novembre, décembre 2015 disponible à:

www.e-sigmaconseil.com/mars/mars.html

www.e-sigmaconseil.com/sigmagfev/sigmagfev.html

https://de.scribd.com/doc/298113358/Sigmag-tunisie-Janvier-2016

https://issuu.com/prosdelacom/docs/sig_mag_tunisie_decembre_2015

www.sigma.tn/Fr/actualites_7_10_D42

PRESSE ÉCRITE

Les journaux de presse écrite ont été choisis se basant sur:

•       la périodicité de publication. Ce sont uniquement des quotidiens et des hebdomadaires se focalisant sur l’actualité qui ont été choisis.

•       les derniers chiffres de lectorat disponibles. Les seuls chiffres que l’équipe a pu obtenir sont les chiffres de lectorat de 2015 de MediaScan.

•       l’équipe a constaté un manque des chiffres fiables sur le tirage et la vente des journaux. Malgré l’obligation légale de publication des chiffres de tirage, les journaux ne le font pas. Aucun institut ou organisme de presse ne détient des chiffres exacts sur le tirage et la vente des journaux. Ce sont seulement les instituts de sondage qui font des études de lectorat, des études qui se basent sur les déclarations de la population. 

Presse en ligne

Les sites web ont été choisis sur les critères suivants:

•       leur position dans le classement sur Alexa.com le 17 mai 2016, n’ayant pas d’autres chiffres disponibles. Un site supplémentaire a été inclus pour montrer la problématique d’Alexa. En juin 2016, l’un des 10 sites n’était plus dans le classement, ayant arrêté son abonnement. Ces chiffres sont maintenant estimés. Un autre site qui a commencé son abonnement à ce moment là est par contre entré dans le classement (voir données sur l’audience).

•       être un site tunisien pertinent pour l’actualité. Par conséquent, les sites de divertissement, du gouvernement etc. ont été exclus.

•       Le conseil consultatif a débattu l’inclusion du site « tunigate.net » étant donné sa faible visibilité dans le paysage médiatique. Le site a été inclus, figurant parmi les premiers 10 sites d’Alexa. 

9. Pourquoi le choix de la Tunisie?


Le paysage médiatique est en pleine transformation depuis la révolution de 2011. Des nouveaux décrets/lois traitent les questions de transparence et de la concentration de la propriété; des nouvelles instances de régulation ont été créées (la HAICA) ou sont en discussion (Conseil de la Presse); des nouveaux médias ont reçus des licences et d’autres ont été confisqué par l’État. La liberté de la presse s’est améliorée pendant les dernières années. En 2016, la Tunisie occupe la 96ème place du classement mondial de la liberté de la presse publié par Reporters Sans Frontières, en comparaison avec la 134ème place en 2011-12. Mais depuis 2016, la Tunisie a perdu une place au classement RSF, tombant au 97ème rang. 

En même temps, des défis importants persistent pour la liberté et la diversité de la presse. En pleine période de transformation, le MOM permet une analyse détaillée par rapport à la concentration et la propriété, permettant de proposer et pousser des réformes qui assurent une vraie diversité des médias.

10. Le MOM est-il uniquement disponible pour la Tunisie?

Le MOM se base sur une méthodologie générique qui peut être appliquée universellement - et qui le sera potentiellement. Néanmoins ces tendances de concentration de médias sont observables à travers le monde; l’implémentation et l’analyse prendra d’abord place dans les pays en développement. Le MOM a été implémenté dans près de 20 pays à la fin de trois années de travail. Tous les pays appartenant au projet peuvent être trouvés sur le site internet global.

11. Quelles sont les limites de l’étude?

•       Pas de chiffres fiables sur l’audience: Les chiffres d’audience disponibles sont fortement contestés (voir données sur l’audience).Pour cela, ces chiffres ont été utilisés uniquement pour le choix des 40 médias, et pas pour le calcul des indicateurs. Le manque des chiffres fiables est un risque pour assurer un marché médiatique diversifié.

•       Pas de chiffres économiques : Il n’existe pas de chiffres exacts sur le marché économique. Seuls quelques médias ont partagé leurs données financières qui sont publiées sur leurs profils. Les seules données sur la publicité sont issues des instituts des sondages, mais ils sont exagérés.

•       Données contradictoires: Il est difficile d’obtenir des données exactes sur le nombre de médias existant en Tunisie. Les différents sources (ONT, rapport du Président de la République) ne sont pas cohérentes.

•       Données pas mises à jour: Il est impossible de savoir si les données disponibles sur le registre de commerce sont mises à jour. Tout d’abord parce que le registre de commerce n’est pas en mesure de faire le suivi avec toutes les sociétés pour assurer qu’ils déclarent tous les changements. Ensuite, les tribunaux ne transfèrent pas tous les documents au registre de commerce, même s’ils sont obligés de le faire.

12. Quelle est notre cible?

Cette base de données:

•       permet aux citoyens et toute autre personne intéressée de s’informer sur le système médiatique en Tunisie et de connaître les propriétaires des médias qu’ils consultent. Elle permet aussi une prise de conscience vis-à-vis de l’importance de la propriété et la transparence.

•       crée une base de données et évoque les problématiques en lien avec la diversité et de la transparence du secteur médiatique tunisien, qui peut servir aux organisations de la société civile dans leur lobbying, au gouvernement pour renforcer la diversité et à la HAICA, ainsi que des organes de régulations futurs à mieux accomplir leurs mandats. 

13. Y a t-il une prochaine étape?

Oui, la base de données présente l’état de lieu actuel des médias en Tunisie, contextualisée par des faits historiques. Cette base sera mise à jour régulièrement par Al Khatt. Le projet espère susciter un débat et des changements, en particulier sur les sujets suivants :

-        la transparence des médias

-        les chiffres d’audience

-        la vente des médias confisqués

-        la situation économique

-        les affiliations politiques 

14. Y-a-t-il des projets similaires?

Le Media Ownership Monitor est principalement inspiré par deux projets similaires. Particulièrement les indicateur d’un classement ultérieur du “Media Pluralism Monitor” (financé par des fonds européens) du Centre pour le pluralisme des médias et la liberté des médias (CMPF) à l’Institut Universitaire Européen (EUI, Florence). De plus, Media Pedia, une base de données sur les propriétaires développée par des journalistes d’investigation en Macédoine à servi d’inspiration pour le Media Ownership Monitor.

Un aperçu des autres projets similaires est disponible dans le tableau ci-dessous.

ORGANIZATION

DESCRIPTION

Access Info 

Une ONG espagnole qui travaille dans le domaine de la transparence de la possession des médias dans plusieurs pays européens.

Article 19

Une ONG qui travaille dans le domaine de la liberté de la presse. Elle met en œuvre des projets sur la concentration des médias.

Deutsche Welle

Le “Media Freedom Navigator” de la Deutsche Welle donne une vue d’ensemble sur l’index des différentes libertés des médias.

European Audiovisual Observatory

Une base de données sur la télévision et les services de l’audiovisuels en Europe.

European Journalism Center

 

Le site internet donne un résumé et une analyse de l’état des médias en Europe et dans les pays voisins.

 

European University Institute in Florence

Le “Media Pluralism Monitor” évalue les risques du pluralisme des médias dans les pays  membres de l’Union Européenne.

IFEX

Le site internet donne des informations sur l’état des médias dans plusieurs pays.

IREX

Le “Media Sustainability Index” (MSI) donne des analyses sur les conditions nécessaires aux médias indépendants dans 80 pays.

mediaUk

Le site internet donne des informations sur la possession des médias au Royaume-Uni.

Pew Research Center

L’organisation publie une base de données interactive sur les médias aux Etats-Unis d’Amérique.

SEENPM

Surveille la possession des médias et l’impact du pluralisme des médias dans le Sud-Est de l’Europe et les pays membres de l’Union Européenne.

The Columbia Institute for Tele-Information at Columbia Business School

Un programme de recherche sur la concentration des médias qui travaille, avec la même méthodologie, avec des auteurs issus de 30 pays à travers le monde

The Institute for Media and Communication Policy

Une base de données des sociétés internationales des médias les plus importants à travers le monde.

UNESCO

Media Development Indicators - Un cadre pour évaluer le développement des médias.

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